Où les eaux se partagent – Dominique Fernandez

Lu en partenariat avec les éditions Philippe Rey

9782848766508 Philippe Rey – janvier 2018 – 266 pages

Quatrième de couverture :
Un peintre français, Lucien, et sa compagne Maria, en vacances en Sicile, arrivent dans un port à l’écart des circuits touristiques. La beauté du lieu et leur rencontre d’un vieux prince désargenté les amènent à acheter une maison rudimentaire, au bord de la falaise, malgré les réticences de Maria.
Lucien est fasciné par les Siciliens, leur pays, leurs coutumes, leurs superstitions, leur personnalité pittoresque et surprenante… Tandis que Maria, tout empreinte des préjugés des Italiens du Nord, les considère comme une population barbare. Elle est révulsée par l’éducation sévère infligée aux filles contrastant avec le laxisme de celle des garçons, les « crimes d’honneur », l’absence de femmes sur les plages, cause d’un intérêt malsain des hommes, appâtés par la blondeur de Maria…
En face de la maison se trouve une ligne de partage entre deux mers. Et si là, devant l’un des plus beaux paysages du monde, une autre ligne, celle de la séparation, se dessinait au sein d’un couple, pourtant arrivé enjoué et uni ?
Un roman subtil sur le lien amoureux, les mouvements souterrains de la personnalité, mais aussi une peinture foisonnante de la Sicile et de ses habitants.

Auteur : Romancier et essayiste, membre de l’Académie française, Dominique Fernandez est l’auteur de plus de soixante ouvrages dont Dans la main de l’ange (prix Goncourt 1982), Porporino ou les mystères de Naples (prix Médicis 1974), Ramon et Le Piéton de Rome. Il a publié plusieurs beaux-livres à la suite de nombreux voyages : Rome, Saint-Pétersbourg, Palerme et la Sicile, Prague, Syrie, L’Âme russe, etc.

Mon avis : (lu en décembre 2017)
J’ai accepté de recevoir ce roman pour découvrir la Sicile à travers ce roman.
Lucien et Maria ont acheté, un peu par hasard, une maison sans prétention dans le petit village de Marzapalo, à la pointe sud-est de la Sicile. Lucien est un peintre français et il a été éblouie par le paysage et les habitants de cet endroit. Maria, Italienne du Nord, est plus réticente, elle préfère la ville et considère les Siciliens comme peu intéressants…  
Lucien et Maria n’étant sur la même longueur d’onde, des tensions vont se créer dans le couple…
J’ai aimé découvrir cette région de Sicile et les Siciliens dans le roman mais j’ai vite été lassée par cette histoire de couple… J’ai également été gênée par les nombreuses inclusions de locutions en italien non traduites en français qui émaillent le roman.

Merci Anaïs et éditions Philippe Rey pour cette lecture mitigée.

Extrait : ici

Petit bac 2018
Positif (1)

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