Embarqué : Carnets marins dans le jardin du commandant – Christian Cailleaux

A10Xfta5LAL Futuropolis – avril 2015 – 176 pages

Quatrième de couverture :
« Durant des mois, j’ai accompagné des marins sur leurs navires. Je me suis interrogé sur les raisons justifiant une telle mobilisation d’hommes et de moyens. Il est évident que les intérêts des autorités françaises, civiles et militaires, sont économiques et stratégiques, à l’heure où l’espace maritime apparaît de plus en plus comme le prochain territoire à conquérir. Mais qui sont les jeunes gens, filles ou garçons, qui s’embarquent sur ces bateaux ? Qui en sont les ouvriers ? Qui sont les marins du XXIᵉ siècle qui se dirigent vers les falaises sombres des antipodes battues par les vents ? Que reste-il de « La Royale » et, dans son sillage, de la découverte du monde et d’escales exotiques censées donner un sens à la vie ? Bienvenue à bord ! » Christian Cailleaux.

Auteur : Né en 1967, Christian Cailleaux suit des études de lettres et de philosophie, puis est élève à l’École nationale supérieure d’arts de Paris-Cergy. Il travaille brièvement comme graphiste et illustrateur dans une agence de publicité, puis comme directeur artistique1. A 20 ans, il part pour faire son service militaire au Congo à Brazzaville, puis y monte un agence de publicité avec un jeune Congolais. La guerre civile l’oblige à rentrer en France. Son expérience en Afrique sert de matière à sa première publication professionnelle en bande dessinée, en 1993 : les aventures d’Arthur Blanc-Nègre, sur un scénario de Bernard Sallé. Il assure ensuite seul le scénario et le dessin de ses créations  Haëllifa et Harmattan : Le Vent des fous, puis Le Café du voyageur et Le Troisième thé.
Par ailleurs, il mène une carrière d’illustrateur pour la presse enfantine, des périodiques de voyage ou généralistes, et continue de voyager, en particulier en Afrique, tout en animant des ateliers de dessin dans les centres culturels ou les Alliances françaises d’une quinzaine de pays du continent. Les Imposteurs (2004), en 2006, il adapte avec Michel Piquemal le roman de Marie Shelley Frankenstein ou Le Prométhée moderne, puis l’année suivante, après deux voyages en Inde, Tchaï Masala : Monologue hindi.
Grâce au comédien et écrivain Bernard Giraudeau qu’il a rencontré en 2005, il embarque sur le porte-hélicoptères Jeanne d’Arc pour un reportage dessiné. En 2008, paraît R97 : Les Hommes à terre, une libre adaptation du récit Le Marin à l’ancre qu’a publié Bernard Giraudeau en 2001. Cette bande dessinée raconte le tour du monde d’un jeune matelot à bord du Jeanne d’Arc.

En 2009, il publie Piscine Molitor, sur un scénario d’Hervé Bourhis, puis en 2011 Les Longues Traversées, sur un scénario de Bernard Giraudeau.
En février 2018, il embarque au Vietnam pour une résidence artistique sur la goélette d’exploration Tara. Il en tire un carnet de voyage intitulé Cahiers de la mer de Chine.

Mon avis : (lu en janvier 2020)
Attirée par le dessin de la couverture de cette BD, un marin regardant l’horizon, j’ai pris un peu par hasard cet album à la Bibliothèque.
C’est un documentaire reportage pour mieux comprendre les marins, leur vie et leur engagement. Tout commence avec des jeunes de 16 ans venus s’engager au Centre d’instruction Naval de Brest comme mousses et rêvant de devenir fusiliers, puis des élèves-officiers de l’école navale qui sont un peu plus âgés…
L’auteur nous raconte également son rapport à la mer, à la Marine à travers les films comme Escale à New-York, le Crabe-Tambour, Remorques, les BD de Hugo Pratt et son héros Corto Maltèse. Il évoque sa rencontre avec Bernard Giraudeau.
Reportage dans les Terres Australes sur une frégate de surveillance, quelques jours à bord d’un sous-marin nucléaire…
C’est une BD patchwork comme des carnets de voyages, avec des styles différents dans le dessin, comme la plume, le crayon, l’aquarelle, le lavis…
Cet auteur de BD, grand voyageur, offre au lecteur : un voyage au bout de la mer, dépaysant, varié et instructif.

Extrait :

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Cartoville New York 2020 – Collectif

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61OV1x5p8CL Gallimard – janvier 2020 –

Quatrième de couverture :
Statue de la Liberté, Empire State Building, Met et MoMA, Central Park, High Line, comédies musicales à Broadway, rooftops vertigineux, friperies et boutiques de créateurs, bagels et burgers, balade au fil de l’eau à Brooklyn ou échappée à Coney Island: suivez le guide !
• Un concept unique : des cartes grand format dépliables par quartier
• Les incontournables, visites, sorties et shopping localisés sur les cartes
• Des parcours et des balades hors des sentiers battus.

Auteurs : Collectif

Mon avis : (exploré en mars 2020)
Voilà un guide avec cartes et plans en un.
Tout commence avec Les incontournables (Statue of Liberty / Ellis Island, Worl Trade Center, Empire State  Building, The High Line, Firth Avenue, Museum of Modern Art (MoMA), Central Park, Metropolitan Museum of Art (Met), Guggenheim Museum, Brooklyn).
Puis New York en 3 jours, un programme pour découvrir l’essentiel de la ville pendant un grand week-end.
Puis 10 idées pour découvrir New York autrement, des idées tendances, découvrir du street art, balades, idées pour se nourrir, pour voir un spectacle, passer une soirée…
Quelques bons plans pour découvrir New York, gratuitement ou à petits prix.
Puis c’est une présentation générale des différents quartiers (ils sont 10), et pour chacun d’eux, des adresses de restaurants, cafés, bars, pour faire du shopping et en dépliant la page, on dévoile un plan détaillé avec les curiosités à visiter.
Ensuite il y a la proposition de 3 balades : Downtown art tour, Manhattan fait son cinéma et Brooklyn au fil de l’eau puis quelques échappées à 1 ou 2 heures de New York, Flushing Meadows-Corona Park, Bronx Park, Coney Island, Long Beach…
A la fin du guide, on trouve un carnet pratique avec l’essentielle des infos pour un séjour à New York : calendrier, transports, hébergement, lexique français – anglais…
Enfin, un index des adresses et lieux de visite présents sur les plans.
Pratique et facile à mettre dans une poche grâce à son format (12 cm x 17 cm), mais en contrepartie, la police d’écriture est vraiment très petite… et certains plans (métro et de bus à Manhattan, dernière page du guide) totalement illisibles, une loupe n’étant pas fournie !

Remarque :
J’ai trouvé une incohérence (à propos de l’échelle) sur le plan « Se repérer à New York »(cf. extrait 1), qui est plutôt un tableau d’assemblage des différents plans plus précis des quartiers de New York.

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L’échelle graphique : 1 cm = 750 m et le texte en dessous, « 1/70 000 – 1 cm = 700 m » sont incohérents…
L’erreur n’est pas grave puisqu’il s’agit d’un tableau d’assemblage et que l’on mesure rarement une distance sur ce genre de plan…

Extrait : (cliquez sur chaque image pour agrandir)

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on déplit la page pour accéder au plan
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Le Monde selon Guirec et Monique – Guirec Soudée

Lu dans le cadre de Masse Critique Babelio

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71F69yBQTHL Flammarion – avril 2019 – 304 pages

Quatrième de couverture :
Jeune Breton qui n’a jamais connu d’autre terrain de jeux que l’océan, Guirec Soudée écume les mers du globe avec pour seule compagnie une poule, Monique. Ensemble, ils ont traversé l’Atlantique, rallié le Groenland, affronté 130 jours emprisonnés au coeur de la banquise, franchi le périlleux passage du Nord-Ouest, mis les voiles pour le Grand Sud, essuyé des tempêtes dans les plus extrêmes latitudes, passé le cap Horn, rejoint l’Antarctique avant d’amorcer un long retour jusqu’en Bretagne. L’histoire incroyable d’un garçon opiniâtre, qui n’attend pas que ses rêves se dessinent à l’horizon, et d’une poule, concentré de fantaisie et de courage, qui offre un œuf par jour à l’aventurier.

Auteur : Guirec Soudée est originaire de la petite île d’Yvinec dans les Côtes-d’Armor. À 21 ans, convaincu qu’il vaut mieux vivre ses rêves plutôt que rêver sa vie, il quitte tout pour faire le tour du monde en solitaire, à bord d’un voilier de 10 mètres, fort de beaucoup d’humour et de ténacité.

Mon avis : (lu en juillet 2019)
J’ai dévoré avec plaisir le récit de voyage de ce jeune Breton qui avait décidé de quitter sa petite île bretonne, Yvinec (Côtes-d’Amor) avec son voilier pour aller explorer le Monde.
Depuis tout petit, il connaît la mer autour de son île ou de sa chère Bretagne… mais il est néophyte pour partir bien plus loin… Guidec a des rêves d’aventures, et il va les réaliser en prenant son temps… En décembre 2012, il met toutes ses économies pour acheter son petit voilier en Méditerranée, avec l’aide de deux copains il va le remonter chez lui, ce premier voyage et la préparation de son grand départ seront plus difficiles que prévu. Guidec doit alterner des petits boulots pour renflouer ses finances et la préparation de son bateau qui n’était pas en si bon état que cela… Mi-novembre 2013, il quitte Yvinec pour les Antilles, il y aura quelques haltes techniques dans le sud Finistère, puis en Espagne et au Portugal avant Madère en mars 2013… puis Les Canaries avec l’arrivée d’une coéquipière à bord, Monique (ou Momo) une poule rousse qui lui tiendra compagnie pendant son périple en solitaire et lui offrira un œuf presque tout les jours !   
Après la traversée de l’Atlantique et quelques mois passés sous les tropiques, Guidec fait route vers le Grand Nord et le Groenland, il rêve d’hiverner là-bas, le voilier pris dans la banquise… Il longera ensuite la côte arctique canadienne et franchira le périlleux passage du Nord-Ouest. Puis direction le Grand Sud, avec les pires tempêtes, Guidec et Monique passeront le cap Horn, avant de rejoindre l’Antarctique, puis un petit tour vers le Cap de Bonne Espérance avant le long retour jusqu’en Bretagne en repassant par les Antilles. En décembre 2018, Guidec et Monique mettent pieds (ou pattes) à terre à Yvinec après un long voyage de 5 ans !
Entre rêves et réalités, Guidec et Monique vont vivre des moments intenses, dangereux, cocasses, faire de nombreuses rencontres…
Entre l’insouciance, le courage et la détermination de Guidec, la fantaisie et la capacité d’adaptation de Momo,  merci de nous faire partager ce fabuleux voyage, ces paysages incroyables, ces conditions météorologiques difficiles ou splendides.

Merci Babelio, pour ce voyage par procuration !

Et pour en savoir plus sur Guidec et Monique et admirer de nombreuses photos de ce beau voyage…

Extrait : (début du livre)
Regarde bien, Monique, nous on est là. Ça s’appelle l’île de Vancouver. C’est beau, hein ? Et tout en haut ? C’est le Groenland ! La baie de Disko, qu’est-ce qu’on a pu rigoler là-bas tous les deux… Même si on s’est gelé les plumes, on peut dire qu’on a eu de sacrés coups de chaud ! Tu te souviens ? Alors maintenant, Momo, suis bien mon doigt. Voilà. Tu vois tout ce bleu ? C’est l’océan Pacifique. Et tous ces petits points au milieu du bleu ? Des îles. Arrête de gigoter, Momo, écoute-moi. Donc ça, c’est la Polynésie. Un endroit où les colliers sont faits de fleurs, où ça sent bon la vanille et la noix de coco. On y va. Ce sera un long voyage, Monique, un long voyage. Mais au bout, on trouvera de l’eau turquoise et du sable blanc très doux, comme chez moi à Yvinec, mon île bretonne. Je t’y emmènerai un jour. La Polynésie, ça nous fera du bien après la glace. Tu verras, c’est un peu comme chez toi, à Tenerife, ton île des Canaries. Dans ce paradis, tu pourras attraper tous les poissons que tu voudras. Et puis on fera de la planche, du paddle et même du kite et, promis, on ne s’envolera pas trop haut ! Alors, qu’est-ce que tu en dis ?

*

Nous ne sommes pas allés au paradis. Là-bas, ils n’ont pas voulu de nous. Enfin, c’est de toi qu’ils ne voulaient pas. Et moi, je n’irai nulle part sans toi.
Mais ce n’est pas grave, on en trouvera un autre de paradis.

carte_guidecCarte du voyage de Guidec et Monique

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Stockholm (3/3)

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Troisième jour, à Stockholm : nous commençons par prendre la ligne bleue du métro à T-Centralen, et nous découvrons l’une des stations décorées de Stockholm :

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Nous arrivons à la station Kungsträdgården, également décorée.

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Nous partons vers les deux petites  îles de Skeepholmen et Kastellholmen, nous en faisons le tour et nous visitons également la collection permanente du Moderna Museet.

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Il abrite des œuvres de l’Époque moderne comprenant Georges Braque, Sonia Delaunay, Siri Derkert, Henri Matisse, Edvard Munch, Wassily Kandinsky, Ernst Ludwig Kirchner, Pablo Picasso, Alexander Calder…. Mais aussi les œuvres des nouveaux réalistes, notamment La Chèvre de Robert Rauschenberg et des œuvres de Jasper Johns.

Pontus Hultén a fait une grande donation au musée en 2005. Elle comprenait plus de 700 œuvres parmi lesquelles on compte : Constantin Brâncuși, Salvador Dalí, Walter De Maria, Marcel Duchamp, Max Ernst, Sam Francis, Jasper Johns, Roy Lichtenstein, Kasimir Malevitch, Claes Oldenburg, Francis Picabia, Robert Rauschenberg, Niki de Saint Phalle, Jean Tinguely, Andy Warhol

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Nous reprenons le métro pour la station Thorildsplan sur l’île de Kungsholmen,

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nous partons déjeuner dans l’un des parcs, puis nous passons le pont pour faire le tour de l’île Lilla Essingen, il fait très beau et les suédois en profite pour prendre le soleil au bord de l’eau…

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A Stockholm, en cette saison, le soleil se lève à 4h30 et se couche à 21h. Aussi, mon conjoint décide de partir faire un footing dès 5h autour des îles de Kungsholmen et de Lilla Essingen. Pour ma part, j’en profiterai pour finir ma nuit…

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Dernier jour de visite à Stockhölm, nous prenons le ferry pour rejoindre l’île de Djurgården et l’impressionnant Vasamuseet. Ce musée a été construit autour d’un vaisseau de guerre suédois du 17e siècle, qui sombra lors de son voyage inaugural le 10 août 1628 et qui fut renfloué en 1961.

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Le Vasa, baptisé ainsi parce qu’il portait le blason de la dynastie régnante, devait être le bateau le plus puissant jamais construit.  Des centaines de sculptures ciselées, les biens de l’équipage, les voiles et plus de 14.000 objets en bois ont été remontés avec le navire qui reste aujourd’hui encore, le seul vaisseau du XVIIe siècle à avoir été conservé.
Il fait assez sombre dans le musée, mais cela est nécessaire pour la conservation du vaisseau. Le bâtiment a par ailleurs été construit spécialement pour accueillir l’épave, aujourd’hui reconstituée. A ce jour, les équipes du musée mènent encore des recherches sur la préservation à long terme de ce précieux vaisseau de guerre.
Enfin, le musée abrite plusieurs expositions connexes qui nous en apprennent plus sur la vie à bord, les passagers, la navigation au XVIIe siècle…
Avant la visite, j’avais pu télécharger,  sur le site du musée, un audio-guide en français très intéressant.

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Nous quittons Djurgården avec le tramway et après avoir pique-niqué dans un parc, nous partons flâner dans le quartier de Ostermal : avec un petit tour au marché couvert où il y a presque autant de vendeurs que de bistrots…

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Nous passons également par la Kungl. Biblioteket (Bibliothèque Royale), et par hasard, nous empruntons une rue tunnel (Brunkeberg Tunnel)

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Le tunnel est souterrain pour les piétons et les bicyclettes sous Regeringsgatan et Malmskillnadsgatan, environ 15-20 mètres de profondeur. Le roi Oscar II a ouvert le tunnel le 9 juin 1886.

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Nous terminons notre journée sur les hauteurs de Stockholm, dans le Parc Observatorielunden.

Nous profitons des dernières heures de notre long w-e vraiment dépaysant dans la capitale suédoise où la vie doit être bien agréable. L’accueil y est vraiment sympathique. La ville côtoie la nature avec les nombreux espaces verts, la mer avec les nombreuses îles. Dès qu’il fait beau, et cela a été le cas ces quatre jours, les Suédois vivent dehors, sur les terrasses des cafés, allongés sur l’herbe des parcs ou sur les bords de l’eau. Il y a de nombreux joggeurs, de nombreux cyclistes, les transports en communs nombreux et variés : bus, métro, tramway, bateau…

F I N

Stockholm (2/3)

Le deuxième jour de notre séjour, nous avons commencé par nous acheter un pass de transport en commun pour 72 heures, et nous sommes partis explorer le sud de la ville avec l’île de Södermalm.
Nous avions pour jeu de retrouver les lieux des livres « Millénium » de Stieg Larsson.

A la suite du succès du livre puis des films, la ville organise des visites guidées « Millénium ». Comme les visites sont en suédois ou en anglais, j’avais préparé à l’avance mon guide, avec carte et adresses intéressantes ou pas à retrouver…

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Je n’avais pas pris le temps de relire ou de réécouter Millenium avant de partir à Stockholm… Au retour, j’ai donc emprunté la série des 6 BDs Millenium à la bibliothèque et j’ai pu retrouver les planches illustrant Stockholm et les lieux que nous avions visité…

Nous avons commencé notre balade à la station de métro Slussen : le quartier est en travaux et nous avons cherché sans trouver « Milton security » (là où travaille Lisbeth Salander).

millenium_bredNous avons arpenté la Götgatan et repéré « Le journal Millenium »
(où travaille Mikael Blomkvist),

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le 7-eleven (épicerie où Lisbeth Salander a l’habitude de faire ses courses)

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et le restaurant Kvarben que Mikael et Lisbeth fréquentent.

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Ensuite nous quittons la rue commerçante pour gagner les hauteurs vers la maison de Lisbeth Salander. Le quartier est vraiment agréable et vert avec de nombreux petits espaces verts.

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Puis direction, l’appartement du journaliste Mikael Blomkvist en empruntant escaliers
et rues escarpées…

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P1040336_20  Immeuble où se trouve l’appartement de Mikael Blomkvist

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Retour dans des quartiers moins pittoresques pour retrouver le café Mellqvist, le quartier général de Stieg Larsson et de son héros Mikael Blomkvist.

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Nous terminons par l’ancien appartement de Lisbeth

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 à suivre…

Stockholm (1/3)

Au mois de mai dernier, je suis partie quatre jours découvrir la capitale de la Suède, je partage ici avec vous et en 3 épisodes mon voyage !

Il faisait très beau sur Paris et sur l’Europe et nous avons vraiment pu profiter de la vue du ciel tout au long du voyage. Nous avons survolé la France, la Belgique, les côtes des Pays-Bas, un petit bout de côtes d’Allemagne, le Danemark et enfin la Suède avec ses nombreux lacs et ses forêts. Après 2h30 de vol en A370 sur la compagnie suédoise SAS nous avons atterri à Arlanda (au nord de Stockholm) à 13h.

Nous avons pris un bus durant 45 min pour rejoindre la Gare Centrale qui était toute proche de notre hôtel dans le quartier de Normalm.

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Notre chambre a vu sur l’immeuble d’à côté, mais aux extrémités du bâtiment la vue est impressionnante !

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Pour la première après-midi, nous sommes partis à pieds visiter la vieille ville, c’est-à-dire Gamla Stan.

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Nous nous sommes perdus dans les petites rues étroites et pavées de l’Île de Gamla Stan à la recherche d’une part de la rue la plus étroite de la ville (non trouvée ce premier jour) et du monument le plus petit de Stockholm…

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Une minuscule statue de 15 cm, Järnpokje. Caché sur une petite place derrière l’église finlandaise, ce petit garçon qui regarde la lune.

Nous avons apprécié les jolis maisons colorées de la place Stortorget

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Pour terminer, nous nous sommes offerts quelques « Bullar » brioche typique à la cannelle, un délice…

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Le matin du deuxième jour, nous partons visiter l’île de Södermalm
(voir billet Stockholm (2/3) )

Dans l’après-midi du deuxième jour, nous retournerons à Gamla Stan pour finir d’explorer l’est de l’île et enfin trouver la rue la plus étroite de Stockholm (Marten Trotzigs Gränd) qui se termine par un escalier…

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Marten Trotzigs Gränd

Après un dîner rapide et tôt à Max (fast food suédois), nous allons faire un petit tour digestif sur l’île de Kungsholmen, voir l’Hôtel de Ville (Stadshuset) de Stockholm.

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à suivre…